La louve du dodo domptée par un démon.

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il y a 4 ans

Chez un homme j’aime aussi beaucoup sa bite. Cet organe est magique, ma relation avec lui est intense, profonde, fusionnelle. Déjà pour la fellation, ce que l’on peut voir dans les vidéos, à mes yeux, ne représente pas l’amour. On voit des filles les agiter comme pour en faire tomber les fruits, quel dommage. Moi, j’aime les sentir grossir, les faire vibrer avec de la douceur, même si j’aime bien aussi quand c’est intense.

Voir un homme nu, endormi et couché sur le dos, est attendrissant. La bête entre ses jambes est au repos, comme recroquevillée dans sa carapace. Le mâle ne cherche plus à être fier de son organe pouvant être dévastateur. Il est tout petit, tout mou, et ça, c’est pour moi une friandise. Ce mec que j’ai hébergé pour une nuit me plait trop, je le veux.

Je pose alors doucement ma tête sur son ventre, l’oreille au-dessus de son nombril. Il est devant mes lèvres, sans défense, sans esprit guerrier. Je lui fais un petit bisou, un « poutou », puis, le plus lentement possible le dirige dans ma bouche. Ca y est, je l’ai piégé dans mon antre des câlins.

Elle est toute douce, toute chaude, toute tendre, un délice. Avec la plus grande sensualité, ma langue part à la découverte. Juste de la pointe, un peu comme si elle marchait sur un terrain miné. Si le gland n’est pas décalotté, je fais comme si je toquais à la porte avant de jouer la fouine. Si il est décalotté, j’en étudie les contours, avant de venir titiller l’urètre avec une extrême douceur. Mes mains sont de simples observatrices, il est, à cet instant, hors de question pour ma bouche de partager. Ma langue va alors le titiller avec son « dessous », le dessus est trop « rêche », pour l’éveiller comme j’ai envie, comme j’aime.

Quand elle s’éveille, se déplie doucement comme si elle s’étirait, je ne bouge surtout pas la tête, il n’y a pas d’urgence, je ne veux pas la faire « cracher », je veux juste lui faire l’Amour. Toujours avec la même lenteur, ma langue la titille, s’oppose à son déploiement, même si je sais, qu’elle finira par être le vainqueur de ce duel des sens. Irrémédiablement, la bête envahit mon espace buccal, il est hors de question que je cède, que je recule la tête. Ah non, c’est à cet organe majestueux de s’adapter, de trouver sa place. Cet instant là est magique.

Lorsqu’elle prend de l’ampleur et cherche à atteindre toute sa plénitude, ma langue finit par céder, la laisse passer. Cette vilaine va envahir ma gorge, je le sais, encore une fois, je ne bougerai pas la tête. Je respire par le nez et cherche un peu, comme à ouvrir mon tube digestif. Ce n’est qu’une image bien sûr, mais avec le temps, j’ai appris à contrôler cet envahissement. Je m’étonne parfois que cela « rentre ». Et comme je ne veux pas la faire cracher, il est hors de question que je fasse des mouvements.

C’est à ce moment là que mes mains entrent en action. Elle partent à l’assaut des testicules sans défense. La bataille de ma bouche est perdue, la bite a gagné, mais la guerre n’est pas perdue. Elles vont appliquer la règle qui est de diviser pour mieux régner. Mes doigts fouillent dans la poche des bourses pour les isoler et les séparer avant de les faire rouler, parfois les serrer un peu pour leur faire sentir que JE domine la situation.

A cet instant, il n’est pas rare que la bite ayant vaincu ma bouche se mette à tressauter, un peu comme si elle doutait alors de sa victoire. Si le corps de son propriétaire s’agite, ma tête entre dans la lutte et lui faire comprendre qu’il ne doit pas bouger ou je vais serrer ses précieuses. Je le fais quelques fois, quand le propriétaire joue les rebelles et cherche à reprendre la situation en main. Non, c’est hors de question, c’est MOI qui décide, qui gère.

Dans ma grande clémence, je laisse alors la verge sortir et « prendre l’air ». Je lui impose alors de se mettre au garde-à-vous. Elle a voulu sortir, tant pis pour elle. Son gland va, pour le moment, être privé d’attention et je vais lui faire regretter cette fuite.

Ma main gauche la saisit à la base, la serre et l’oblige à rester tendue, tirée un peu en arrière pour mieux l’exposer à ma langue. Elle semble lui dire silencieusement « Ah tu as voulu jouer, tu as voulu me quitter, je vais te le faire regretter ». Elle vient suivre la veine sans jamais aller jusqu’au bout. Elle la lèche alors doucement comme une glace, du bas vers le haut en s’arrêtant sous la collerette.

L’heure de la « vengeance a sonné », une de mes mains prend ses testicules dans son creux puis les emprisonne comme dans une coquille qu’elle serrera si nécessaire. L’autre ne l’a pas lâchée et continue de lui imposer un angle de tension vers le bas de son corps, comme si je voulais lui faire baisser la garde. Elle résiste, j’adore. Et là, ma bouche se fait taquine, elle souffle le chaud et le froid sur la pointe du gland turgescent sans jamais la reprendre. Non, c’est trop tôt, il va lui falloir attendre. Ma langue joueuse entre alors en action, elle tourne autour de la collerette sans jamais franchir la zone, une fois mouillée, ma bouche souffle comme du froid. Ma main tenant les testicules se serre un peu, comme pour dire « attention si tu bouges je les écrase ».

C’est à ce moment là que ma bouche baisse le pavillon de la fierté. Cette garce s’arrange pour être vue prendre le gland en elle en restant grande ouverte, sans toucher les bords. Le regard de l’homme suppliant à cet instant est magique. S’il ose bouger, ma bouche se retire, ma main écrase les précieuses en même temps que ma tête fait le signe « non » et que mes dents se rendent visibles, comme une louve menaçante.

Le calme revenu, le mâle maté, ma bouche reprend possession du gland et se referme sur lui. C’est alors à ma lange de passer à l’attaque de sa résistance. Elle va jouer avec la verge et le gland comme un serpent, toujours avec douceur. Je ne suis pas un sextoy appelé « branleuse » je suis un femme qui « aime ta bite mec et qui va la dompter jusqu’au bout ».

Le sexe de toutes mes attentions est toujours entre mes mains fermées et possessives. Mes yeux scrutent son visage, mes oreilles la liturgie de son plaisir, parfois juste sa respiration, parfois de sublimes plaintes, comme les gémissements d’une victime. Je vais finir par lâcher prise, mon envie de quitter ma tenue de louve et de devenir la proie me guette.

Si je veux « garder la main », sans lâcher le sexe je chevauche l’homme en posant mes fesses sur ses cuisses que je serre avec les miennes. Ma bouche repart alors à l’attaque de ses tétons pointant fièrement, les innocents ne pensent jamais que j’ai des dents pour les mordiller.... Quelle douce mélodie elles parviennent à faire jouer quand, avec mes mains, elles décident de serrer ma proie. Dans ce cas, c’est moi qui chevaucherai la bête domptée, la guiderai en moi.

Si j’ai un impérieux besoin de lâcher prise, c’est parfois le cas, je m’allonge sur l’homme en murmurant à son oreille « fais de moi ce que tu veux ». J’aime alors sentir la puissance de ses bras qui m’enlacent, me piègent, me rendent « sa chose ». Je me sens alors toute petite, je deviens la « victime » de mon jeu de provocation. A ce moment là, je n’ai pas envie de caresse, j’ai envie de LA sentir en moi. Il est inutile d’aller faire des bisous pour humidifier mon puits d’amour, je suis prête à LA recevoir.

Un démon s’est vengé et m’a faite pleurer

Il m’a retournée comme une crêpe avant de bloquer mes bras en V au dessus de ma tête. Il s’est incrusté sauvagement entre mes cuisses ne demandant qu’à s’ouvrir pour l’accueillir au mieux. J’étais aux anges, cela allait être ma fête.

Et bien NON !

Je sentais sa verge vibrer contre mes lèvres intimes, il cherchait la faille. Comme une nouille, j’ai remonté mes jambes pour l’aider, il n’en a pas profité. Il aurait pu lâcher une de mes mains pour se guider en moi, je ne me serais pas débattue. Au lieu de ça, il n’a fait que se frotter à moi comme un chien en chaleur sans jamais me prendre. Et puis il a rendu visite à ma poitrine en jouant « au loup » tournant autour de la brebis. Ses lèvres et sa langue semblaient refuser de prendre possession de mes tétons gourmands de caresses, de dents agiles.

C’est là que j’ai compris que j’avais peut-être rencontré mon alter ego !

Quand je tendais ma poitrine, il évitait mes tétons. Quand j’essayais de lui dire silencieusement en bougeant mon vente que je voulais lui offrir ma fleur, il n’en profitait pas.

Le monstre allait faire bien pire !

Après avoir remonté mes cuisses qu’il a bloquées contre ses épaules, il a recommencé à jouer avec son dard. Il piquait mon intimité, cognait parfois à la porte ne demandant qu’à s’ouvrir pour lui sans jamais en profiter. Quand enfin il a trouvé la faille et allait me prendre....., enfin c’est ce que je croyais......, il est resté sur le pas de la porte ruisselante de désir de lui. Le gland que j’avais un peu martyrisé s’est avancé en moi, je me suis ouverte à lui, il est resté là !!!!

Sous son corps d’athlète, j’étais piégée. Ses grosses mains ne lâchaient pas les miennes, mes orifices étaient à la merci d’un démon. J’ai commencé à avoir peur. Il me souriait en se délectant de mon incompréhension. Jamais un homme s’était refusé à moi après mon attaque matinale, au contraire, bien souvent ils sont allés trop vite en besogne. Lui non, lui voulait se venger, dresser la louve.

Dans un de nos mouvements de « lutte », son gland s’est un peu avancé en moi, me dilatait agréablement mais hélas, me laissait toujours sur ma faim. Au contraire, il s’est reculé, j’ai failli crier « non », ma fierté m’en a en empêchée. Mon démon a alors entrepris le supplice de la goutte chinoise, supplice consistant à faire tomber des gouttes d’eau sur la tête d’un condamné pendant des heures et des jours pour le rendre fou. Son gland faisait de même avec mon chaton.

Cela durait, je m’ouvrais à lui en espérant à chaque fois que ce serait la bonne. Sa tête a alors plongé dans mon cou, un peu comme quand le loup s’attaque à la gorge de sa proie. Ce ne sont pas ses dents qui m’ont attaquée, ce sont ses lèvres en même temps qu’il taquinait mon intimité. La tête bloquée par la sienne et nos bras, j’ai n’ai pas pu me défendre, j’ai été obligée de « subir » une avalanche de bisous tendres, doux, et surtout : « allumeurs ».

Je ne savais plus où j’étais. Enfin si, j’étais sous un monstre me faisant vibrer sans jamais me donner ce dont j’avais besoin. Un monstre qui se vengeait et qui a osé me murmurer qu’il me faudrait le supplier pour qu’il me prenne !

  • Jamais !

  • J’ai tout mon temps ! Fut sa réponse avant de s’attaquer à mon oreille avec sa bouche de vorace.

Le fourbe, le sadique, voulait m’obliger à faire quelque chose que je n’ai jamais faite : supplier un homme pour qu’il me baise !!!!!! Toujours bloquée sous lui, totalement offerte, attaquée par son gland de malade toujours incapable de franchir ma porte et sa bouche gloutonne, ma fierté essayait de résister. Elle a fini par capituler, je lui ai dit ce qu’il voulait entendre. J’avais trop envie de lui en moi.

Il m’a dit « non pas encore », et là, je me suis mise à pleurer nerveusement. Cela ne m’était encore jamais arrivé. J’aime contrôler, gérer, là c’était l’inverse, j’étais en perdition, à la merci d’un rustre refusant de me prendre et continuant à m’allumer.

  • Donne moi ta bouche ! M’a ordonnée mon démon.

Il m’a embrassée de la même façon qu’il jouait avec son gland, je l’ai haï. Il a arrêté son harcèlement de chaton et de langue puis, avec une extrême lenteur, a pris possession de mon moi intime. J’ai senti glisser chaque centimètre de sa verge avant de me sentir pleine de lui. Mon périnée tremblait de joie, mes muscles ont décidé jouer cavaliers seuls. Ce n’était pas vraiment une jouissance, c’était nerveux, hors contrôle. Quand il a lâché mes mains, elles l’ont serré contre moi, j’ai levé les jambes encore plus haut pour mieux m’offrir au vainqueur de ce duel des corps.

Cet homme que j’avais juste hébergé pour une nuit m’avait dominée, rendue proie alors que c’est toujours moi qui gère. J’avais eu envie de lui, de jouer avec son sexe et, au bout du compte, c’est lui qui me transformait en carpette.

Quand il a décidé de m’achever, le démon s’est agité en moi sans se presser. A chacun de ses mouvements, il faisait comme s’il partait puis, juste avant de se retirer, il reprenait possession de mon chaton et toujours jusqu’à la garde pour bien me faire sentir son emprise sur moi. Il a accéléré d’un coup, il a tenu la distance dans un marathon de folie et m’a « tuée » plusieurs fois en m’envoyant dans la stratosphère.

Sa main est venue titiller mon petit orifice, dans l’état où était sa captive, elle ne pouvait plus rien lui refuser. Il a senti que je n’étais pas fermée à la sodomie et en a profité pour m’occire. J’avais un peu peur que ce gland, avec le quel j’avais fait connaissance, soit trop gros pour moi. Il n’en fut rien, ma petite fleur étoilée avait sûrement envie de lui. Elle s’est totalement ouverte pour le laisser passer sans même me demander mon avis. Elle m’a juste fait remonter les sublimes sensations de cette possession. Il m’a, à nouveau, envoyée dans la stratosphère.

Écrasée, écartelée, prise jusqu’à la garde dans ma plus stricte intimité, j’ai senti le monstre « marquer son territoire ». Il m’a fait « sienne » de cette façon. Depuis ce jour là, je porte son collier. Il a fait de la louve sa soumise sexuelle. Ce démon fait de moi ce qu’il veut, quand il veut, où il veut.

Je suis tout sauf soumise dans la vie, mais avec lui, tout est différent.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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